mardi 6 octobre 2009

Just Dropped In To Check What Condition My Reputation Was In...

Je suis juste venu vérifier quelle est ma réputation sur Internet!
C'est dorénavant le problème croissant des marques.

Avec 20% des tweets qui mentionnent des marques. Des dizaines de millions d'adhérents aux fans pages de marques sur Facebook, des centaines de milliers  d'internautes se répandant en avis dans les forums des sites d'E-Commerce, plus de 40 000 nouveaux blogs créés par jour et des millions d'e-mail en circulation, le problème est immense.

Le bouche à oreille a changé de nature.


Longtemps cantonné aux cours d'écoles, aux discussions autour de la machine à café et aux échanges d'infos entre mères de familles, Internet et particulièrement les médias sociaux l'ont transformé en milliers de conversation simultanées et de plus en plus interconnectées.

Comment les marques peuvent-elles se  faire une pige en temps réel?
Selon The B.I.A. Kelsey Group, une société de consulting, les dépenses d'ERPM (Email, Reputation and Presence Management) atteindront $3.1 milliards d'ici 2013.

Le bouche à oreille est le sacré Graal de toute stratégie marketing. Or tout un arc en ciel de médias sur Internet, offre désormais une fenêtre sur l'univers jusque là obscur du bouche à oreilles.

C'est donc une activité, des métiers et des solutions technologiques qui naissent, la gestion de la réputation des marques sur Internet, un peu comme le S.E.O (Search Enginee Optimisation) est devenu un secteur d'activité majeur pour les marques.



Parmi les solutions existantes citons BrandsEye  qui affirme être le seul outil,

 ".....that comprehensively tracks every online mention of your brand, while having the capability to generate a precise score that accurately reflects the state of your online reputation."

".....qui repère chaque mention online de votre marque tout en ayant lan caapcité de générer un score  qui reflète de façon précise l'état de votre réputation online"

Toutefois si BrandsEye présente une série de fonctions impressionnantes, censées permettre:
  • d'écouter la "discussion globale" concernant une marque,
  • d'offrir la possibilité d'intervenir dans  cette conversation,
  • de réagir aussi vite que possible si une "crise" survient,
  • de créer des rapports quantifiés avec des tendances émergentes
  • de surveiller la concurrence.
Il s'agit d'un ORM (Online Reputation Management) défensif qui donne le sentiment d'être orienté vers la gestion de crise. De surcroit nombre de marques craignent beaucoup l'atteinte à leur image sur Internet.

Il en résulte une approche frileuse du bouche à oreille sur Internet. Des centaines de milliers de discussions se développent sur les marques et forment une conversation globale qui est en train de devenir la clef d'entrée d'un E-marketing réussi.

Cette conversation est-elle vouée à rester hors de portée des responsables marketing?

Selon Matt Booth, (senior vice president and program director), à BIA/Kelsey.

"There are too many disparate conversations going on through social networks, user reviews, message boards and online affinity groups for a small business to find let alone track manually......The market has developed in such a way that ERPM (Email, Reputation and Presence Management) is basically a white space that capital and technology will rush to fill." "

"Il y a trop de conversations disparates qui ont lieu sur les réseaux sociaux, les forums, les message boards et tous les groupes d'affinités...... Le marché s'est développé d'une façon telle qu'un espace vierge est disponible. le capital et la technologie vont l'occuper.)" 

Beaucoup de doigté est nécessaire!
Comment prend t-on la parole dans les multiples flux de bouche à oreilles?

C'est la question qui ouvre l'accès aux $3.1 milliards d'ici 2013!

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